Les stages conférences
Dans le cadre de notre engagement pour l’écologie au sens large, de par l’ approche des intervenants à venir et déjà venus à L’OUSTAU, nos sujets de prédilection sont :
La géobiologie
Qu’elle soit sacrée, c’est-à-dire en relation avec les lieux de culte (églises, cathédrales, sites mégalithiques, etc..) ou appliquée à l’habitat en général, la géobiologie est un art parce que science humaine et technique, elle se propose d’étudier «qualitativement» et de comprendre, comment l’ «invisible» (réseaux telluriques, cheminées cosmo-telluriques, intentions initiales..) les interférences géologiques (failles, cavités, eaux souterraines, etc…) interagissent avec le vivant, et rend tel lieu apte à y accueillir la vie, et dans quelle mesure.
La relation avec la «forme» est évidente, ce qui donne au «tracé» une importance – par sa relation aux nombres, notamment le fameux nombre d‘or – et restitue l’architecte dans toute sa responsabilité dans cette fonction, «sacrée» quelque part… ! La perception de ces «énergies» reste commune, et est bien souvent intuitive, car non rationalisée. Les chinois en ont fait un art/science qui nous est parvenu : le fengshui.
Les sourciers sont l’exemple de l’utilisation pratique d’un «don» de perception extra-sensible, qu’il suffit à tout un chacun de travailler pour le rendre efficient.
L'écologie
Dans un lieu tel que celui-ci, au milieu d’une réserve biologique de premier plan concernant la biodiversité, loin de toute pollution chimique, aérienne, etc… Il nous est apparu évident de pouvoir transmettre des éléments relatifs au respect des processus naturels, des biotopes, de l’équilibre qui peut en être observé. Nous limitons notre impact, à notre niveau, dans le cadre de la gestion des déchets produits par L’Oustau, par un assainissement naturel par phyto-épuration (cf. dossier en page écologie), le compostage des déchets verts et de cuisine.
Au-delà, notre prochaine adhésion à la L.P.O, s’inscrit dans notre souci de protection de cette catégorie bien malmenée par les ravages de l’urbanisation galopante, l’utilisation exponentielle de pesticides menant à la raréfaction de leurs proies : les oiseaux. Bien représentés au niveau du lac de Devesset, à travers les migrateurs, les échassiers et autres poules d’eau et canards, il s’avère que contribuer à mieux connaitre et protéger l’habitat des plus humbles est devenu urgent et essentiel.
Les méthodes naturelles de soin
Regroupant des savoirs issus de la Naturopathie européenne, se décline en plusieurs savoirs et techniques de soin, allant de l’alimentation naturelle, l’ostéopathie, la phytothérapie, aux bains (d’eau, de soleil, d’air…). L’hygiène de vie (activité physique, rythmes de veille sommeil, etc..), soit une dizaine de méthodes qui toutes se complètent en un corpus cohérent, enseigné dans diverses écoles de nouveau actuellement en Europe : leurs fondements ont été posés bien avant Hippocrate, et reposent sur l’existence de quatre éléments (eau, terre, air, feu) déterminés par les états suivants, deux à deux : le CHAUD, le SEC, l’HUMIDE, le FROID. Cela détermine alors des tempéraments types distincts (bilieux, nerveux, sanguin, flegmatique), chaque personne étant souvent un assemblage de plusieurs éléments, avec une dominante, les « archétypes » uniques étant rares. Le secret de la santé « connais toi toi-même.. » réside donc à bien se (re)connaitre, et à respecter les besoins de sa constitution, car c’est de ces forces et faiblesses qui font de l’art de soigner un art qui devrait être nécessairement personnalisé.
NB : les « plantes qui soignent, et celles qui se mangent », sont parfois les mêmes, et apprendre à les reconnaître sera l’objet d’une prochaine sortie nature avec une herbaliste passionnée, à suivre !